Les chercheuses ont montré que le sucre blanc contenu dans ces boissons entraîne des inversions d’ADN chez certaines bactéries intestinales, en particulier Bacteroides thetaiotaomicron, jouant un rôle essentiel dans la protection contre l’inflammation et les agents pathogènes. Ces modifications génétiques perturbent la communication entre les bactéries et le système immunitaire.
Les résultats indiquent cependant que ces effets sont réversibles. Une fois l’apport en sucre interrompu, l’ADN bactérien et les marqueurs immunitaires retrouvent leur état d’origine.
Cette étude souligne l’importance de la recherche sur les interactions entre nutrition, microbiome et santé, ouvrant la voie à des recommandations alimentaires personnalisées.
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