Le professeur Daniel Rittel étant décoré par S.E l’ambassadrice Hélène Le Gall.
Le professeur Rittel étudie au sein de son laboratoire :
- la Mécanique expérimentale.
- la Mécanique de la rupture (statique et dynamique, dommages).
- la Propriétés mécaniques des matériaux.
- la Métallurgie mécanique.
- l'Analyse de défaillance des matériaux et des systèmes mécaniques.
- la Biomécanique dentaire
- la Géophysique.
La mécanique et la physique de la déformation et de la fracture à haut débit constituent le thème central du Laboratoire de fractures dynamiques qui a été mis sur pied dès 1994 par le professeur Daniel Rittel, afin de traiter des problèmes spécifiques liés à la mécanique de la fracture dynamique et à la physique des ondes de stress. Depuis lors, le laboratoire développe activement de nouveaux outils et techniques pour résoudre ces problèmes, tout en élargissant son activité à d'autres domaines connexes.
L’activité du groupe est largement expérimentale, avec une forte composante de modélisation numérique. Il développe des échantillons expérimentaux ad-hoc et des méthodes pour étudier la mécanique de la rupture à grande vitesse, comme le spécimen de compression compacte et la technique de frappe à un point.
Les couplages thermomécaniques dans les solides constituent également un thème central de notre activité, tels que la détermination du facteur de Taylor-Quinney dans divers métaux et polymères, ainsi que les effets de couplage thermomécanique dans les fractures dynamiques, en utilisant la thermométrie infrarouge sans contact.
La fiabilité structurelle est également étudiée dans le contexte de problèmes de mise à l'échelle pour les grandes explosions à courte portée, ou la surveillance de l'état de la structure à l'aide de la tomographie par impédance électrique, ou la surveillance des effets finaux en utilisant des ondes évanescentes, par exemple.
Le comportement balistique des matériaux légers (polymères vitreux amorphes) est un autre sujet d’intérêt. Le comportement constitutif des matériaux à des taux de contrainte élevés est un thème central de notre groupe. Nous utilisons notre spécimen de compression au cisaillement (SCS) pour étudier la localisation dynamique du cisaillement, modéliser le phénomène et comprendre ses racines physiques.
Plus récemment, nous avons commencé à étudier la réponse mécanique dynamique de la matière molle (gels) afin de mieux comprendre la modélisation d'organes et de tissus humains soumis à des impacts traumatiques.
Un autre domaine d’intérêt récent concerne la fiabilité mécanique des implants dentaires, y compris l’analyse des défaillances et la prévention basée sur le développement de nouveaux protocoles de test de fatigue dans des milieux intra-oraux simulés.
Pour toutes nos activités, l’accent est mis sur la physique de la défaillance, y compris l’identification des micromécanismes de défaillance utilisant la microscopie électronique à balayage et à transmission.
La modélisation numérique est couramment utilisée pour «ajuster» ou développer de nouvelles expériences, ainsi que dans le cadre d'approches hybrides expérimental-numérique. Les modèles sont développés au sein du groupe par les mêmes personnes qui effectuent les expériences, de sorte que notre activité de modélisation est guidée par nos observations physiques.
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